Notes


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Lamy, Jacques
parrain: Jacques GIGOT fils de Françoismarraine: Bénigne VULQUINDC DE JACQUES LAMYJacques Lamy vigneron à Pouillenet âgé de 70 ans est décédé muni des sacrements de pénitence et extrême onction le 18 / 06 / 1770 et a été inhumé au cimetière le 19 en présence de Reine Beutot son
épouse de René et Jacques
ses fils domiciliés au même lieu et plusieurs autres qui ne savent signer Jean Vulcain recteur d'école et Jean Leger marguillier soussignés avec nous curé du dit lieu.

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Beutot, Reine
Reine Beutot veuve de Jacques Lamy en son vivant vigneron à Pouillenet est décédée à l'âge de 79 ans munie des sacrements de l'église le 20 / 03 / 1777 et a été inhumé le lendemain au cimetière en présence de ses fils Jacques et René Lamy
de Jean Benot meunier et François Brenot le dernier a signé les autres ne sachant le faire Jean Vulcain recteur d'école soussigné avec nous curé du dit lieu

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Claustres, Jean X Claustres, Anna
Je, personnellement establys, honnête personne Jean Claustres, filz
à feu Damien, habitant au village des Claustres, paroisse de Bertignac
faisant pour soy et les siens, d'une part, et
honnête femme Jeanne Debourdelles vesve de feu Guillaume
Claustres et soubz son aultorité Anna Claustres
sa fille et dudit feu Guillaume. Icelles dites Claustre en
tant que besoing seroit, estant adcister et conseiller
de honnêtes personnes Anthoine Debourdelle, ayeul,
et Jean Vidal, son oncle, Jean Fourt jeune, son beau
frère, honnorable homme Mr Pierre Des Maisons, son cousin
et Guillaume Pourrat, filz à Anthoine, voisin.
Tous lesquels pour le faict des présentes ont conseiller
icelles Debourdelles et Claustres habitantes audit lieu des
Claustres, faisant pour elles et les leurs app...nelz, d'autre
partye. Lesquelles parties de leur gré et vollonté
ont confessé que au moyen de l'advis et conseil des
susdits parans et avec d'autres, de part et d'autre icy assemblés
avois acordé mariage. Lequel s'acomplira s'il plaist
à dieu en face de saincte mère esglise appostollique et
romaine, les sollemnités d'icelle préalablement
gardées et observées, d'entre lesdits Jean et Anna Claustres
qui se sont l'ung l'autre promis prandre en loyal
mariage dans le temps sur ce introduit. Afin d'icelluy
faire sortir effet et supporter les charges, ladite
Debourdelles mère, soubz la renonciation et quitance
cy apprès consantye par ladite Claustres future
expouze, a promis donné, constitué et assigné
en doct à sa ladite fille et pour ...... nom d'elle
audit Claustres futur expoux les choses que
s'ensuivent, et premier l'habiller pour le jour des nobces
de deux robbes de coulleur garnies et assorties
de manches et doublures sellon l'estat des partyes
outre celles qu'elle a de présent. La munir d'ung
lict de basle garny de coueste, coussin, couverte
de burel, quatre linceulx, ung coffre de bois de
noyer en menuizerie fermant à clef garny du
menu linge de ladite futur expouze. Et tous les frais
des présentes fiançailles seront payées par ladite Debourdelles
entièrement, et au réciproque ledit futur expoux
payera tous les fraiz de nobces. Et par dot
et chau.. restituera la somme de cinq cens
livres tournois. Tout ce que dessus payable, scavoir lesdites
robbes, lict, coffre et la somme de quatre vingt
livres tournois en desduction de le dicte doct, le jour de la
cellébration et accomplissement dudit mariage,
quatre vingt livres dès le jour et feste de la saint Jean Baptiste
prochaine venant, et ainsy d'an en an apprès contignué
mesme paiement de quatre vingt livres à une chacune dicte
feste de la saint Jean Baptiste, jusques en fin de paiement
desdictes cinq cents livres de doct. Et au
moyen de la susdite constitution ainsy promise, icelle dicte
future espouze, de l'advis des susdits parans et de
son dict futur expoux, a congneu et confessé avoir
heu et reçeu sa juste et légitime part et pourtion
des biens et droitz que luy sont advenus et
escheux, tant par le décedz et trépas dudit feu
Guillaume Claustres que autres successions a elle
eschues jusques huy, comme aussi les futures
successions tant de susdite mère, frères et soeur que
autres et quelzconques directes et collatéralles
eschues et a eschoir, comme recognoissant
lesdites constitutions esquipoler lesdits droitz escheuz
et a eschoir. Tous lesquels dictz droitz elle
a quités et renoncés, quicte et renonces par ces
présentes au proffict de sa dite mère pour quatre
pourtions de cinq (suite en renvoi)
pour ce qu'est des biens paternelz, et pour le tout les biens maternels
et apprès elle de
Anthoine, Jean Pierre et audit Jean Claustres ses
frères germains. Et l'autre cinquiesme pourtion au
proffit de François Claustre son frère
consanguin ici présent qui la acepté. Promettant
n'en jamais plus fere autrement pétition ni recherche
en jugement et descor (suite en renvoi) des dits biens paternels.
Laquelle quictance en la
forme susdite, ledite Claustres futur expoux
a promis audit Deboudelles et François Claustres
faire valloir et entretenir à ladite fucture expouze
et descendantz du présent mariage, tant qu'icelluy
présent mariage duera, à peyne de tous dépens
domages et interets. Et a ce fer a obligé tous ses
biens présents et advenir. Est acordé s'estoit,
le dit futur expoux et expouze, que le survivant
d'eulx gagnera et aura sur les biens du
premier morant, y aye enfens ou non du présent
mariage, la somme de cinquante livres tournois
payable l'an de la dissolution d'icelluy que
compectera et appartiendra à celluy qui fera
le gain, tant en proppriétté que uzuffruict,
nonobostant le pacte de revertion adce contracter
auquel les parties ont renoncé et renoncent
par ces présentes. Et de plus, outre ledit gain mutuel
icelluy futur expoux, en faveur du mariage,
a acordé à icelle dite future expouze qu'en
cas qu'elle luy survive et il ny aye point
d'enfens du présent mariage, elle gaignera par
aulmentation de gain de survie, la somme
de deux cents livres tournois qui luy appartiendront
et aux siens, tant en propriété que uzuffruit
nonobostant tous ce dict et accester a dict contracts et
auquel les partyes ont renoncé et
renoncent par ces présentes et au payement de
ladite doct, esdit termes, comme aussi à la restitution
d'icelle, a qui restitution appartiendra le cas
d'icelle advenant, a mesme termes que promis
ont estée, ou ainsi qu'elle se trouvera
avoir esté payé. Iceulx dits Debourdelles et
Claustres futurs expoux ont choisit entre soy
obligé et yppotéqué tous leurs biens présents et
advenir. Car ainsi l'ont vollu et acordé
lesdites parties, et aceptantes comme dessus, tenir
fet (suite en renvoi) à la charge et sous conditions
touttefois quelz cas que ledit François Claustres
vient a division et partage avec ses autres
frères et soeur avant que les susdites constitutions
soyent entièrement paier, et sera tenu payer sa
cinquiesme pourtion de ce qui se trouvera rester
a payer desdites constitutions au prorata de ce que
icelles pourront montés pour lesdits biens paternels
à luy en dessus quiter et renoncer.
Attandre le contenu es présentes et au contre
ne .......... soubz l'obligation et yppotèque de tous
leurs biens présents et advenir ...... les renonciations
soubzmissioné et clauses nécessaires. Faict et passé
dans le bourg de Bertignac maison dudit Pierre Marc,
et feste apprès midy le vingt neufiesme may
mil six cent vingt neuf. Présent vénérable personne
Mre Pierre Dufourt, prêtre et vicaire
de Bertignac, et honnête personne Jean Claustres
Lesquels ont, et les dits futurs expoux, Anthoine
Desbourdelles, Jean Vidal, Flourt Desmarsone signé,
et Jacques Claustres filz à feu Antoine
lesquels et les autres partyes n'ont scu signer
de ce requis.
Signé : Desmarsones P. Dufourt vicaire J. Vidal
Claustres
D. Debourdelles F. Claustres
J.Claustres
J. Pau..n J. Fourt
............
Teyras Dufourt
contrat du 28.05.1629

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Debourdelle, Antoine
@S397@
- Laboureur, hab Piedsact (par. de Bertinhat) fait donation le 28.12.1613 (Bins. 144 f°361) à Jeanne de BOURDELLES sa fille x Guillaume CLAUSTRES (leur Cm 7.06.1606, reçu Jacques GUILHANDON, notaire), hab aux Claustres (par de Bertinhat), f
s + Guillaume. Mentionnée + Antonia DURANTHON, mère de la donataire.


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Contant, Philibert X Baudot, Jeanne
Le vingt deux février 1720 après fiançailles faites et les bans publiés par trois dimanches consécutifs à la messe solennelle de La Roche, du mariage contracté entre Philibert CONTANT et Jeanne BODOT et semblable publication ayant été faite
à Pouillenay (?) sans opposition ni ----- autre, comme il m'a paru par le certificat du sieur curé après que j'ai reçu leur commun consentement, je soussigné prêtre curé je les ai conjoint en mariage et ensuite ai célébré ladite messe a
laquelle je leur ai donné la bénédiction nuptiale en présence de Jean --- recteur d'école et CIRMAIZON marguillier et de Jacques --------

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Duchampt, Antoine X Delolme, Damiane
d'après les tables du CGHAV, à Champetières autour de 1700 (mais il y a plusieurs "trous"), en dehors de 3 mariages dont les parents ne sont pas cités, les 9 autres mariages DELOLME résultent d'enfants de 4 couples Damien et Jeanne DUMAS
(3), + Sébastien (+ 31/01/1684) et Damiane MATHIAS (2), Sébastien et NN (1) et Pierre et Benoite VAISSON (2) .Trois Damiane DELOLME naissent à Champetières entre 1670 et 1700 :
deux fa de Pierre et Benoite VAISSON :
1- 26/10/1674 p/m Vital VAISSON et Damiane MATHIAS (x Sébastien DELOLME ?)
2- 23/07/1678 p/m Vital VISSEYRIAS et Damiane JARSAILLON
Du fait de la naissance d'un autre enfant de ce couple dès le 24/06/1676, il
est probable que la première Jeanne n'ait pas survécu.
une fa de Sébastien et Damiane MATHIAS :
1- 31.03.1683 p/m Vital VESSEYRIAS et Damiane MATHIAS de St Ferréol


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Leger, Philibert X Sirot, Philiberte
Mariage Philibert LEGER et Philiberte SYROT - POUILLENAY -Philibert LEGER, âgé de 30 ans, fils de furent Etienne LEGER, laboureur à Espréaux paroisse de Pouillenay et de Reine BEUTOT, et Philberte SIROT, âgée de 24 ans et 11 mois, fille d'Etienne et de feue Philiberte GIGOT, ont été épousés en
face de l'Eglise le 21 Juillet 1716 en présence et du consentement des parents, savoir Etienne SIROT, père, François GIGOT, oncle, Etienne GIGOT, cousin, François SIROT, frère, de Nicolas BEUTOT, Charles BEUTOT ou de et cousin, de Jean
SIROT, frère, Etienne SIROT soussigné, les bans publiés aux prônes des 3 derniers dimanches.

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Vulcain, René
Naissance de René VULCAIN - POUILLENAY -

Renot, fils de Renot VULQUIN et de Marie SULLEROT, est né de légitime mariage le 30 Novembre 1703; ses parain et maraine Renot GIGOT et Guyette JACQUENET de cette paroisse lesquels ne signent.

Décès de René VULCAIN - POUILLENAY -René VULCAIN, cy devant recteur d'école de POUILLENAY, est décédé muni des sacrements de l'église, le 31 Août 1764 et a été inhumé au cimetière le 1er de Septembre suivant à l'âge de 60 ans, les obsèques faites en présence de Guyette DESCORS, son épouse, de Jean VULCAIN, collecteur des Tailles, son fils, Jean MUGNIOT et Germain LEGER, ses gendres, Jean-Baptiste RENAUD, recteur d'école à MUSSY LAFOSSE et autres de la parenté les sus-nommés soussignés avec nous curé de POUILLEN

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Vulcain, René X Descorps, Guyette
Mariage René VULCAIN et Guyette DECORS - POUILLENAY -René VULCAIN, fils de René VULCAIN, laboureur à POUILLENAY et de feue Marie SULLEROT, âgé d'environ 22 ans d'une part, et Guyette DECORS, fille de Pierre DECORS et de feue Philiberte CHIQUELLE, âgée d'environ 18 ans d'autre part, leurs bans
de mariage canoniquement publiés à POUILLENAY sans empêchements ni opposition, ont reçus la Bénédiction Nuptiale en face de l'Eglise au lieu dit le 25 Février 1727 en présence et du consentement dudit René VULCAIN, père du contractant, de
Bénigne LAMY, son oncle et de Pierre DECORS, père de ladite Guyette, de René DECORS, son frère, de François SIROT, son oncle et des soussignés témoins.

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Descorps, Guyette
Naissance de Guyette DECORS - POUILLENAY -

Guyette, fille de Pierre DESCORS et Philiberte CHIQUELLE, est née de légitime mariage le 4 Décembre 1707 et a esté baptisée le mesme jour, ses parain et maraine Pierre GIGOT de la RODE DES FROIS et Guyette JACQUENET ne signent requis.

Décès de Guyette DECORS - POUILLENAY -Guyette DECORS, veuve de René VULCAIN, ancien recteur d'école de cette paroisse, âgée de 84 ans, est décédée munie des sacrements de l'Eglise le 6 Janvier 1791 et a été inhumée au cimetière le soir du même jour à cause de l'infection provenant de son corps, en présence de Jean VULCAIN, recteur d'école à NOGENT, de Claude JACQUENET, laboureur, de Germain LEGER, de Jean MEUGNOT, de Pierre MARMILLOT, ses gendres et autres; les susdits JACQUENET et LEGER soussignés avec Jean VULC

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Colvez, François X Le Pennec, Françoise
Mariage :
le 02/12/1684
à Lannéven (22)
Epouse : Françoise PENNEC (LE) âgée de 26 ans Naissance : à Lannéven (22)
Père : François PENNEC (LE)
Mère : Marie COURS (LE)

Conjoint : François COLVE âgé de 24 ans Naissance : à Lannéven (22)
Père : Yvon COLVE
Mère : Yvonne CALLEC



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Moreau, François X Leger, Anne
Mariage de François MOREAU et d'Anne LEGER - POUILLENAY -Le 19 Février 1754, François MOREAU, fils de Gui MOREAU, couvreur en lave à MARIGNY, et de déffunte Reine BOUCHOT, ses père et mère d'une part, et Anne LEGER, fille de Philibert, laboureur a es Préaux, paroisse de POUILLENAY, et de Philiberte SYROT, d'autre part, reçu la lettre de recedo et certificat des publications canoniques de leurs bans de mariage date du 17 Février présente année 1754 signée Monseigneur prêtre déservant à MARIGNY sans opposition ni empêchement

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Gigot, Reine
Naissance de Reine GIGOT - POUILLENAY -
Reine GIGOT, fille de Jean et Charlotte COMPAROT, est née de légitime mariage le 3 Octobre 1718 et a été baptisée le lendemain. Ses parain et maraine Philibert GIGOT et Reine COMPAROT laquelle ne signe requis.
Décès de Reine GIGOT - POUILLENAY -Reine GIGOT, femme du Sieur Jacques JACQUENET, âgée de 56 ans, munie des sacrements de l'Eglise, est décédée le 24 Janvier 1775 et a été inhumée le lendemain 25 au cimetière, en présence de son mari labour
eur au lieu de POUILLENET et de son
frère Claude GIGOT, boulanger à SEMUR, du Sieur COLLART, marchand au même lieu, beau-frère, des Sieurs Nicolas et Claude JACQUENET, fils et beau-frère, du Sieur GIGOT de MUSSY; son frère Claude soussigné avec nous curé dudit lieu.

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Moreau, François X Sirot, Marie Jeanne
Mariage de François MOREAU et de Marie-Jeanne SIROT - POUILLENAY -François MOREAU, fils de défunt François MOREAU, de son vivant laboureur au Pré Hauts, paroisse de POUILLENAY, et d'Anne Léger, ses père et mère, et Marie-Jeanne SIROT, fille majeure de Jean SIROT, aussi laboureur et déffunte Jeanne MEUGNOT, ses père et mère; d'autre part après les trois publications de leurs bans faites aux prônes sans opposition à nous signifiées et la dispense de 4ème degré de consanguinité accordé par Monseigneur l'Evêque d'AUTUN en date du 9 Janvier de la présente année signée Simon DE GRAND CHAMPS, vicaire général d'AUTUN?par VILLETOT? insinuée et contrôlée au greffe des insinuations écclésiastiques du diocèze d'AUTUN le même jour et signé PERRET, se sont donné leur mutuel consentement de mariage et ont reçu de nous curé dudit lieu la bénédiction nuptiale le 29 Janvier 1788 en présence de plusieurs parents et amis scavoir Anne LEGER, mère dudit François MOREAU qui a déclaré ne scavoir signer, de Guy MOREAU,
vigneron à MARIGNY, de François?, aussi vigneron au même lieu, de Jean SIROT, père de la dite Marie-Jeanne, de Symphorien SIROT, domicilié à POUILLENET, d'Etienne SIROT, maréchal et plusieurs autres susdits soussignés les parties
contractantes et nous curé.

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Sabatier, Antoinette
Antoinette SABATIER veuve de Me Thomas VIDAL, hab. Sabatier par. de Grandval, fait une don., le 13.01.1616 (B.ins.147,f°191), à Me Pierre VIDAL, son fils, chirurgien, hab. Sabatier, à Me Guillaume VIDAL, aussi son fils, hab. Sabatier, et à
Me Jean VIDAL, son autre fils, hab. Pressat, par. de Bertignat; personnes citées : Pierre VIDAL jeune, hab. Sabatier, autre fils de la donatrice, et Anne VIDAL, épouse de Pierre CHAMBON, fille de la donatrice.

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Gabillot, Nicolas X de Bussy, Chrétienne
contrat de mariages 4E110/- chez Mre BAILLYAT notaire à Semur
cm le 16.02.1662
GABILLOT Nicolas Fs de Claude + lab & Briandet Marceline, dmt à Benoisey
et DEBUSSY Christine Fa de Jean lab & de FEBURE Tomasse dmt à Venarey.
t: Regnot DEBUSSY md à Benoisey, Tu la future; Jean FEBURE lab son Cu; Michel Tissier lab La Courtine, Martial BRIANDET lab venarey Cu du futur.

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Girodias, Antoine X Vidal, Jeanne
Antoine GIRODIAS x CM 27.03.1639 Jeanne VIDAL à Bertignat : Antoine GIRODIAS fils à feu Antoine, du bourg de Bertignat, et Jeanne VIDAL, fille à feu Pierre, quand vivant chirurgien au village de Sabatier, habitante à présent au village de
Piessat, Bertignat.
Acte passé dans la maison de Jean VIDAL, oncle de l'épouse.
Présents : Guillaume VIDAL, chirurgien à Sabatier, Pierre CHAMBON, oncle de l'épouse, Claude ???, Jean GUILHANDON et François CLAUSTRES.

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Morel dit Dananchy, Pierre X Paquet, Benoite
Il est pourtant bien banal cet acte de mariage du : Du 10ème janvier 1644, Pierre MOREL alias DANNANCHY et Benoîte PAQUET ont reçu la bénédiction nuptiale par moy soubsigné en présence de leurs parentz et amys . Tant que dura son sacerdoce, messire DEMARIS curé de Saint-Jean-sur-Reyssouze, en rédigea des centaines dans des termes à peu près identiques tous aussi laconiques et avares de renseignements au sujet des époux.Pour mieux connaître ce couple, qui vient d'être uni à l'église, feuilletons les registres paroissiaux. Ils nous apprennent que Pierre MOREL dit DANNANCHY mourut le 10 juillet 1694, âgé d'environ soixante-douze ans. Il avait donc approximativement vingt-deux ans le jour de son
mariage, un âge qui parait tout à fait plausible, même si l'on ne peut le confirmer en consultant son acte de naissance : il ne semble pas être né à Saint-Jean-sur-Reyssouze et beaucoup de
communes voisines ne possèdent pas d'archives aussi anciennes.
Quant à l'acte de décès de son épouse, il nous révèle que : Benoîte PAQUET, veuve de Pierre MOREL âgée d'environ soixante-trois ans, a été inhumée le 6ème de may 1700 Soixante-trois ans en 1700 ? ...Une soustraction élémentaire nous amène à la conclusion qu'elle aurait été âgée d'environ six ans le jour de ses noces. Messire DEMARIS, curé, a dû faire une erreur !Pour la corriger, il suffit de retrouver l'acte de baptême de notre
épousée. Le voici : Benoîte, fille d'André PAQUET, de la paroisse de Sain-Jean-sur-Reyssouze a esté baptizée le dizneufviesme aoust 1638... . Elle avait donc soixante-deux ans en 1700 (une marge d'erreur insignifiante !), mais surtout elle atteignait exactement cinq ans, quatre mois et vingt-deux jours lorsqu'on l'a présentée à l'église pour y recevoir la bénédiction nuptiale.A peine plus de
cinq ans ! Et, l'acte de mariage ne stipule même pas qu'elle dispose de l?autorisation de son père ou de sa mère ! Ceux-ci faisaient-ils partie des parents présents ? On peut le supposer, puisqu'ils sont tous deux encore en vie. Claude GUILLIAD, la mère, mourra à l'âge respectable de soixante-seize ans, le 13 mars 1682. à Saint-Jean-sur-Reyssouze, veuve d'André PACQUET , Pierre MOREL, son beau-fils, étant témoin à ses funérailles.S'il n'a pas été
possible de retrouver la date précise du décès d'André PACQUET, les registres de sépultures faisant défaut pendant plusieurs années, on peut la situer de façon approximative grâce au testament qu'il passa devant Me DEMARIS, notaire à Saint-Jean-sur-Reyssouze, le 8 décembre 1651.Certes, ce document montre que le testateur débile de sa personne à cause de certaine maladie corporelle... est à l'article de la mort, mais il indique également que celui-ci lègue
à Benoît, Claude, Joseph, Pierre, Benoîte et Marie, ses enfants, à chacun 90 livres tournois, payables, pour une moitié la première année de la célébration de leurs noces .On en déduit qu'il ne considérait pas sa fille Benoîte comme étant mariée, alors qu'elle était censée avoir reçu la
bénédiction nuptiale sept années auparavant! Pour apporter un peu de lumière dans cette affaire confuse, il reste un dernier recours : le contrat de mariage des époux. Introuvable en 1644,il existe cependant, rédigé par Me DEMARIS le 27 juillet 1662, soit plus de huit ans après la cérémonie relatée par le curé de la paroisse.On y lit les formules habituelles, les
futurs époux promettant de jurer sur les Saintes Écritures de Dieu (...) se prendre l'ung l'aultre pour vray Mary et femme et ensemblement représenter en face de nostre mère saincte esglise pour
illec recevoir la bénédiction nuptiale et saint sacrement de mariage ... . L'ensemble est écrit au futur, comme dans n'importe quel autre contrat de mariage.Cependant, une lecture plus attentive nous fournit deux renseignements intéressants.D'une part, Benoite PACQUET est encore mineure en 1652, puisqu'elle apparaît dhument autthorizée par honneste Hyronisme GUILLIAD, son oncle et Clauda
GUILLIAD, sa mère , le décès de son père au cours des mois précédents se trouvant ainsi confirmé.D'autre part, la première phrase du contrat, après la traditionnelle formule de salutation, sort de la routine en rappelant comme ainsy soit que mariage aye esté traicté par parolles de présent à debvoir solempnizer en face de
nostre Mère saincte esglise . Il y aurait donc eu un mariage par paroles de présent célébré avant que les époux se présentent devant le notaire.En effet, avant le concile de Trente qui, de 1545 à 1563, tenta de mettre un frein â l'expansion du protestantisme en réformant l'Église catholique et le droit canon, on qualifiait ainsi les mariages où les futurs conjoints, après s'être transportés â l'église et présentés au curé pour recevoir la bénédiction nuptiale, se heurtaient à son
refus. Ils déclaraient alors, l'un et l'autre, en présence des notaires qu'ils avaient amenés, qu'ils se prenaient pour mari et femme et ils en demandaient acte au notaire. Mais le concile de Trente décréta absolument sans valeur cette simple déclaration.Dans le cas qui nous intéresse, non seulement le curé ne refusa pas sa bénédiction, non seulement le mariage par paroles
de présent était interdit depuis près d'un siècle, mais il n'aurait en aucun cas pu concerner une fillette aussi jeune,
l'église ayant toujours veillé à ce que les parties contractantes aient atteint l'âge de la puberté, c'est-à-dire quatorze ans pour les garçons et douze ans pour les filles.Deux sortes de fiançaillesNe pourrait-on, alors, à défaut de mariage parler de fiançailles ? Jusqu'au milieu du XVIème siècle, celles-ci se déroulaient parfois à l'église et même, dans certains diocèses, se fiancer devant un prêtre était
une obligation. Le curé de Saint-Jean-sur-Reyssouze aurait-il tout simplement employé un mot pour un autre ?Il existait en effet deux sortes de fiançailles : les fiançailles par paroles de futur, par lesquelles les deux parties promettaient de se marier, et les
fiançailles par paroles de présent, qui, selon les anciens canonistes. étaient de vrais mariages, c'est-à-dire qu'il suffisait à deux personnes d'exprimer leur consentement au mariage pour être censées mariées.Le droit canon fixait à sept ans accomplis l'âge requis pour les fiançailles, quelle que fût leur forme, et les
parants pouvaient fiancer leurs enfants impubères ; mais ces fiançailles n'étaient valides que lorsque les enfants, parvenus à l'âge de la puberté, les avaient ratifiées. Dans le cas des fiançailles de présent, elles étaient converties en fiançailles de futuro quand c'étaient des impubères qui les avaient contractées.Si l'on veut bien imaginer que Benoîte PACQUET avait la morphologie et l'entendement d'une fillette de sept ans, peut-on admettre qu'il s'agit, dans son cas, de fiançailles par paroles de présent ? Il resterait d'autres objections : certains canonistes, par exemple. affirment que les
fiançailles se différencient du mariage par le fait qu'elles ne sont pas accompagnées de la bénédiction sacerdotale -qui a bien été accordée- et le concile de Trente avait interdit les
fiançailles par paroles de présent.Un mariage évident.Mariage ? Fiançailles ? On peut jouer sur les mots, mais il faut bien admettre l'évidence d'un fait attesté tant par un prêtre que par un notaire : Benoîte PACQUET a été unie à Pierre MOREL religieusement, par conséquent pour la vie, en infraction avec toutes les lois canoniques en vigueur au milieu du XVIIème siècle, alors que le notaire a pour sa part attendu la puberté de la future épouse pour rédiger le contrat de mariage. Faut-il supposer un acte d'insoumission du prêtre, un mouvement de révolte contre les autorités ecclésiastiques ? C'est peu probable. Si l'on consulte les registres des mariages de Saint-Jean-sur-Reyssouze, ou ceux des paroisses voisines que le temps a épargnés, on
constate que les décisions du concile de Trente n'étaient guère appliquées â cette époque dans ce coin de la Bresse.Connaissant les conditions exigés pour qu'un mariage soit valablement contracté, consentement des époux, âge de la puberté. consentement des père, mère ou tuteur, proclamation de trois bans, assistance de deux témoins, bénédiction par le curé de la paroisse de l'un des mariés, et sachant que le défaut de l'une de ces conditions entraîne la nullité de l'union (sauf si une dispense a été accordée), on ne peut que s'étonner de la brièveté des actes rédigés par les curés, qui ne mentionnent nullement si ces diverses conditions ont été remplies. Il faudra attendre la publication de l'ordonnance royale de 1697
pour que les prêtres se montrent plus prolixes, signalant en particulier qu'ils ont observé les formes
du concile de Trente .Une méconnaissance des textes ?Rien n'empêcherait de croire que Messire DEMARIS ait agi en toute bonne foi, ne péchant que par une connaissance incomplète de textes très anciens, ou par une ignorance en matière canonique que pourrait
expliquer son isolement dans une petite paroisse provinciale. Il aurait ainsi procédé une cérémonie qu'il maîtrisait mal, parce qu'exceptionnellement célébrée.Une autre question vient alors à l'esprit : pourquoi les parents de Benoîte PACQUET ont-ils voulu la marier â un âge aussi tendre ? Ils sont tous deux vivants, pas très âgés, sa mère a environ trente huit ans, ils possèdent quelques ressources puisque le père est laboureur, ce qui devrait lui permettre d'élever ses six enfants sans être dans
l'obligation de rechercher pour sa fille la sécurité matérielle que pourrait lui assurer un mari lié à vie par une bénédiction
religieuse.Et pourquoi Benoîte, et elle seule ? Marie, sa soeur cadette, ne se mariera qu'en 1669. Faut-il envisager un désir impatient de réunir les biens et propriétés de deux familles bien nanties ?Si l'on en juge par le testament d'André PAQUET, celui-ci ne possédait aucune fortune immobilière et, lorsque Pierre MOREL mourra, le 10 juillet 1694, il léguera à Antoine, Philibert, Philippe, Jean, Benoîte, Marie. Catherine, Claire, Claudine, Françoise et Jeanne, ses enfants, a chacun
30 livres, payables incontinent qu'ils auront atteint l'age de majorité ou qu'ils se marieront... . Benoîte PACQUET, sa femme, légataire universelle, reçoit, ses autres biens meubles
et immeubles , sans autre précision.On peut cependant supposer que les immeubles n'atteignent qu'un montant assez modeste, l'acte ayant été faict dans une grange où est à présent censier ledict testateur .Un événement incontestable malgré toutIl faut donc se résigner à rester dans l'incertitude en ce qui concerne ce curieux mariage, qu'il s'agisse des motivations des parents ou de l'attitude du curé de Saint-Jean-sur-Reyssouze. L'évènement
n'en est pas moins incontestable : au
milieu du XVIIème siècle, une fillette est mariée
Sources :
- Registrés paroissiaux de Saint-Jean-sur-Reyssouze (01);.
- Minutes des notaires Philibert DEMARIS (1650 à 1693) et Chartes DEMARIS (1693 à 1711) de Saint-Jean-sur-Reyssouze AD. 01
- C. J. de FERRIERE. Dictionnaire de droit et de pratique contenant l'explication des termes de droit, d'ordonnance, de coutume et de pratique avec la juridiction de France Paris, 1764
- M. GUYOT Répertoire universel et raisonné de jurisprudence civile, criminelle, canonique et bénéficiaire, Paris, 1785
- J. L. DUPLAIN, Dictionnaire de droit canonique et de pratique bénéficiaire Lyon, 1776

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Carrouge ou Carjoux ou Cargeot, Marie Madeleine ou Jeanne Marie
"Marie Madeleine CARROUGE" lors de son mariage en 1800 à Saint Triviers
"Jeanne Marie CARJOUX" sur l'acte de naissance de Jean Baptiste VELON du 26.09.1809 à Saint Trivier
"Marie CARROUGE" sur l'acte de naissance de sa fille Marie Françoise VELON le 02.05.1812 à Servignat
"Madeleine CARJOUX" lors de son décès du 13.11.1813 à Saint Triviers (acte référencé lors du mariage entre Jean Baptiste VELON en 1834 à Saint Trivier)
feue "Marie CARJOUX" lors du remariage de son veuf, Claude François VELON, le 9.01.1814 à Mantenay-Montlin
feue "Jeanne Marie CARJOUX" lors du mariage de sa fille Marie Benoite VELON le 24.11.1830 à Servignat
feue "Jeanne Marie CARGEOT" lors du mariage de Jean Baptiste VELON le 12.11.1834 à Saint Trivier

feue "Marie Claudine CARRUGE" sur l'acte de décès de Jean Baptiste VELON du 31.12.1876 à Saint Trivier

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Fonlupt, Antoine X Grolet, Antoinette
Antoine FONLUPT x CM Août 1674 Antoinette GROSLET à Bertignat : Antoine FONLUPT, fils à feu Damien, mercier au village de Fonlupt, et Antoinette GROSLET, fille à feu François, du Montel Guerrier (Grandval), et sa mère michelle FONLUPT qui
l'autorise. Présents : Blaize DEMARRAUX, du village de Marriaux, Pierre CELLIER, de Fonlupt, ami des époux, Adrien FONLUPT (probablement le père de Jeanne FONLUPT, 1ère épouse de Antoine, +8.08.1674, c'est à dire le même mois que son remariage !!! , je
crois d'ailleurs que la date est "dernier" Aout 1674 ), et Antoine GROSLET, frère de l'épouse.

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