Notes
Velon, Jeannette
Contrat de mariage du 4.12.1865 passé chez Me BAS notaire à SAINT TRIVIER DE COURTES
Guillot, Claude Joseph
Parrain: Pierre Joseph GUILLOT
Marraine: Marie Claudine BRECHET
Guillot, Claude Joseph
X Bard, Marie Antoinette
Contrat de mariage du 25.09.1781 passé chez Me LEGRAND notaire royal à SAINT TRIVIER DE COURTES
Acte du 1.09.1781 autorisant le mariage de Antoinette BARD chez Me JANNET notaire royal à CUISEAUX
Doignon, Jean
X Surand, Marguerite
Contrat de mariage du 15.08.1785 passé chez Me LEGRAND notaire royal à SAINT TRIVIER DE COURTES
Surand, Marguerite
Parrain: Louis MARCHAND
Marraine: Marguerite SALOMON (qui a épousé Jacques DOURY le 31.01.1741 à Saint Trivers de Courtes)
Marguerite SURAND est décédée entre 1809 et 1829 à Saint Trivier de Courtes
Guillot, François
Parrain: François LESCHAUD
Marraine Marie Françoise HUGONOTIl n'est pas impossible qu'il soit plutôt le fils de Pierre GUILLA(R)D et de Jeanne BENY mariés le 16.11.1700 à Saint Trivier de Courtes. En effet, Antoine Joly époux de Jeanne Guilla(r)d, fille de ce couple, mariés le 22.01.1732 à Saint Trivier de Courtes est très présents lors des actes concernant François Guillot. Antoine Joly est présent lors de son mariage avec Marie Claudine Lethenet le 1.06.1756 et lors des obsèques de sa première épouse Marie Monneret 20.11.1755 à St
Trivier de Courtes.
Guilliot, Joseph Emmanuel
Parrain: Emmanuel COQUETTE
Marraine Marie Claudine CALLANDRE
Guillad, Marie
X Surand, Etienne
Contrat passé chez Me Claude FAVIER notaire à Saint Trivier de Courtes en 1717 contrat n° 93 entre Etienne SURAND et Marie GUILLIAD veuve Claude Pinet (côte 3E 21293)Témoins: Jean Baptiste LETHENET de Pont de Vaux ( à priori fils de Claude LETHENET et Marie MORAND et époux de Claudine BAUDET fille de François et Françoise GRILLET) , Laurent BRECHET charpentier ( à priori fils de Antoine et LucrèceBOTTON et époux en deuxième noce de Lucresse DISMIER veuve de Claude MAGNIN), Abraham PELLETIER tissier ( à priori fils de Jean et Parnette LAMBOYSSY et époux de Marie PUGET fille d'Etienne et Philiberte PEGNOT), Guillaume PERDRIX dit Pougé
? charpentier (époux de ? DUMONT), Claude Joseph MAGNIN tissier ( époux de Claudine PELLETIER ?),
Carrouge, Claude Joseph
X Bourgeois dit Baudin, Claudine
L'An 1743; et le 19 ème 9br a été célébré mariage par devant moy prêtre et curé de Servignat soussigné entre Claude agé de 26 ans fils de fut Antoine Carrouge vivant laboureur du village de Montmain, paroisse de Servignat et de ClaudineComtet mariés et Claudine agée d'environ 20 ans; fille de fut Benoit Borgeois dit Baudin vivant laboureur du dit Montmain et de Benoite Janodit, mariés et ? en présence de Pierre Janodit beau-père de l'époux, de Jacques Bérardet son beau
frère, de Claude Carry beau père de l'épouse, de Pierre et Philibert Bourgeois ses frères et de plusieurs habitants, parents et amis des sus-dits époux lesquels n'ont su signer, non plus que lesdits témoins; de ce enquis
Signé: Gavand1 _PICT 7
Comtet, Claudine
X Carrouge, Antoine
Contrat de mariage du 19.10.1715 passé chez Maître Claude Favier Notaire à Saint Trivier de Courtes. Parmi les témoins :
-Sieur Claude Anthelme DEMARIS bourgeois de Saint Jean
-Honeste Claude Joseph J....? habitant de Servignat
-Joseph et Claude CHAPUY habitants de la paroisse de Saint Jean
-Jean SALOMON, laboureur de la paroisse de Saint Trivier, cousin du futur époux
-Claude CONTET laboureur dudit Saint Jean, oncle de la future épouse
-Philibert CONTET cousin d'icelle, laboureur dudit lieu
-Joseph GUYAUDET laboureur de la paroisse de Servignat aussi cousin de la future
Morel, Philippe
X Joly, Marie Charlotte
A son mariage, le 4.09.1691 avec Philippe MOREL, Marie Charlotte JOLY est dite fille de Pierre (d'après le relevé de J.M. GUICHARD publié par Regain).
A son décès, le 2.07.1711, elle est dite avoir 40 ans. Elle est donc née aux environs de 1671.
Il y a une naissance Marie Charlotte JOLY à St Jean sur Reyssouze le 8.10.1672 fille de Joseph et de Philiberte BRON.
Joseph JOLY est mort le 7.11.1699 à Saint Jean sur Reyssouze : présent aux obsèques Philippe MOREL son gendre époux. Donc, le père de Marie Charlotte est Joseph JOLY et non Pierre JOLY (CQFD)
Joly, Joseph
A son mariage, le 4.09.1691 avec Philippe MOREL, Marie Charlotte JOLY est dite fille de Pierre (d'après le relevé de J.M. GUICHARD publié par Regain).
A son décès, le 2.07.1711, elle est dite avoir 40 ans. Elle est donc née aux environs de 1671.
Il y a une naissance Marie Charlotte JOLY à St Jean sur Reyssouze le 8.10.1672 fille de Joseph et de Philiberte BRON.
Joseph JOLY est mort le 7.11.1699 à Saint Jean sur Reyssouze : présent aux obsèques Philippe MOREL son gendre époux. Donc, le père de Marie Charlotte est Joseph JOLY et non Pierre JOLY (CQFD)
Guillot, Claude Louis
Parrain: Maitre Louis Marie LEGRAND notaire royal et procureur
Marraine: Demoiselle Jeanne Marie Claudine BELLOUZE
Doignon, Marie Claudine Louise
Parrain: Louis Marie LEGRAND notaire royal et procureur
Marraine: Dame Marie Claudine DUGUE son épouse
Viot, Joséphine
Marie Joséphine VIOT est décédée entre 1866 et 1889 peut être à Saint Trivier de Courtes
Carrouge, Marie Claudine
Parrain : Claude Pierre JANODIS fils
Marraine : Anne Marie GRUEL veuve MANTILLER son ayeule1 _PICT 6
Doignon ou Doynnan, Antoine
Décédé entre 1785 et 1790
Guillaud, Humbert
X Parnet, Anne Marie
Contrat passé chez Me Claude FAVIER notaire à Saint Trivier de Courtes en 1714 entre Humbert GUILLAUD et Anne Marie PARNEZ (côte 3E 21290) en présence de Marguerite PONCET veuve de Joseph REGNAUT, de Antoine GUILLAUD, laboureur frère de
l'époux, de Claude Pierre GAGNEUX, laboureur beau frère de l'époux et de Philippe LESCHAUD beau frère de l'épouse.1 _PICT 8
1 _PICT 18
Guillot, Pierre Joseph
Il est le parrain le 29.08.1757 de son neuveu Claude Joseph GUILLOT
Guillod, Pierre Joseph
Parrain: Joseph LONG
Marraine: Anne Marie FELIX femme de Claude DECOURT mariés le 26.11.1727 à Saint Triviers de Courtes
Long, Jean Benoit
Il est témoin du décès de son beau frère Louis GUILLOT le 16.01.1848 à Saint Trivier de Courtes
Tellier, Jean Baptiste Aimable
Il est témoin du décès de son beau frère Claude Joseph GUILLOT le 25.01.1829 à Saint Trivier de Courtes
Bertrand, Claude François
X Carrouge, Claudine
@S1035@
Carrouge, Denis
X Mantillier, Marie
Dispense du 4ème degé de consanguinité (due à Pierre Morel et Benoite Paquet leurs arrière-arrière grands parents)
Morel dit Dananchy, Pierre
X Paquet, Benoite
Il est pourtant bien banal cet acte de mariage du : Du 10ème janvier 1644, Pierre MOREL alias DANNANCHY et Benoîte PAQUET ont reçu la bénédiction nuptiale par moy soubsigné en présence de leurs parentz et amys . Tant que dura son
sacerdoce, messire DEMARIS curé de Saint-Jean-sur-Reyssouze, en rédigea des centaines dans des termes à peu près identiques tous aussi laconiques et avares de renseignements au sujet des époux.Pour mieux connaître ce couple, qui vient d'être uni à l'église, feuilletons les registres paroissiaux. Ils nous apprennent que Pierre MOREL dit DANNANCHY mourut le 10 juillet 1694, âgé d'environ soixante-douze ans. Il avait doncapproximativement vingt-deux ans le jour de son mariage, un âge qui parait tout à fait plausible, même si l'on ne peut le confirmer en consultant son acte de naissance : il ne semble pas être né à Saint-Jean-sur-Reyssouze et beaucoup de
communes voisines ne possèdent pas d'archives aussi anciennes.
Quant à l'acte de décès de son épouse, il nous révèle que : Benoîte PAQUET, veuve de Pierre MOREL âgée d'environ soixante-trois ans, a été inhumée le 6ème de may 1700 Soixante-trois ans en 1700 ? ...
Une soustraction élémentaire nous amène à la conclusion qu'elle aurait été âgée d'environ six ans le jour de ses noces. Messire DEMARIS, curé, a dû faire une erreur !Pour la corriger, il suffit de retrouver l'acte de baptême de notre épousée. Le voici : Benoîte, fille d'André PAQUET, de la paroisse de Sain-Jean-sur-Reyssouze a esté baptizée le dizneufviesme aoust 1638... . Elle avait donc
soixante-deux ans en 1700 (une marge d'erreur insignifiante !), mais surtout elle atteignait exactement cinq ans, quatre mois et vingt-deux jours lorsqu'on l'a présentée à l'église pour y recevoir la bénédiction nuptiale.A peine plus de cinq ans ! Et, l'acte de mariage ne stipule même pas qu'elle dispose de l?autorisation de son père ou de sa mère ! Ceux-ci faisaient-ils partie des parents présents ? On peut le supposer, puisqu'ils sont tous deux encore
en vie. Claude GUILLIAD, la mère, mourra à l'âge respectable de soixante-seize ans, le 13 mars 1682. à Saint-Jean-sur-Reyssouze, veuve d'André PACQUET , Pierre MOREL, son beau-fils, étant témoin à ses funérailles.S'il n'a pas été possible de retrouver la date précise du décès d'André PACQUET, les registres de sépultures faisant défaut pendant plusieurs années, on peut la situer de façon approximative grâce au testament qu'il passa devant Me DEMARIS,
notaire à Saint-Jean-sur-Reyssouze, le 8 décembre 1651.Certes, ce document montre que le testateur débile de sa personne à cause de certaine maladie corporelle... est à l'article de la mort, mais il indique également que celui-ci lègue à Benoît, Claude, Joseph, Pierre, Benoîte et Marie, ses
enfants, à chacun 90 livres tournois, payables, pour une moitié la première année de la célébration de leurs noces .On en déduit qu'il ne considérait pas sa fille Benoîte comme étant mariée, alors qu'elle était censée avoir reçu la bénédiction nuptiale sept années auparavant! Pour apporter un peu de lumière dans cette affaire confuse, il reste un dernier
recours : le contrat de mariage des époux. Introuvable en 1644,il existe cependant, rédigé par Me DEMARIS le 27 juillet 1662, soit plus de huit ans après la cérémonie relatée par le curé de la paroisse.On y lit les formules habituelles, les futurs époux promettant de jurer sur les Saintes Écritures de Dieu (...) se prendre l'ung l'aultre pour vray Mary et femme et ensemblement représenter en face de nostre mère saincte esglise pour
illec recevoir la bénédiction nuptiale et saint sacrement de mariage ... . L'ensemble est écrit au futur, comme dans n'importe quel autre contrat de mariage.
Cependant, une lecture plus attentive nous fournit deux renseignements intéressants.D'une part, Benoite PACQUET est encore mineure en 1652, puisqu'elle apparaît dhument autthorizée par honneste Hyronisme GUILLIAD, son oncle et Clauda GUILLIAD, sa mère , le décès de son père au cours des mois précédents se trouvant ainsi
confirmé.D'autre part, la première phrase du contrat, après la traditionnelle formule de salutation, sort de la routine en rappelant comme ainsy soit que mariage aye esté traicté par parolles de présent à debvoir solempnizer en face de nostre Mère
saincte esglise . Il y aurait donc eu un mariage par paroles de présent célébré avant que les époux se présentent devant le notaire.En effet, avant le concile de Trente qui, de 1545 à 1563, tenta de mettre un frein â l'expansion du protestantisme en réformant l'Église catholique et le droit canon, on qualifiait ainsi les mariages où les futurs conjoints, après s'êtretransportés â l'église et présentés au curé pour recevoir la bénédiction nuptiale, se heurtaient à son refus. Ils déclaraient alors, l'un et l'autre, en présence des notaires qu'ils avaient amenés, qu'ils se prenaient pour mari et femme et
ils en demandaient acte au notaire. Mais le concile de Trente décréta absolument sans valeur cette simple déclaration.Dans le cas qui nous intéresse, non seulement le curé ne refusa pas sa bénédiction, non seulement le mariage par paroles de présent était interdit depuis près d'un siècle, mais il n'aurait en aucun cas pu concerner une fillette aussi jeune,
l'église ayant toujours veillé à ce que les parties contractantes aient atteint l'âge de la puberté, c'est-à-dire quatorze ans pour les garçons et douze ans pour les filles.
Deux sortes de fiançaillesNe pourrait-on, alors, à défaut de mariage parler de fiançailles ? Jusqu'au milieu du XVIème siècle, celles-ci se déroulaient parfais à l'église et même, dans certains diocèses, se fiancer devant un prêtre était une obligation. Le curé de
Saint-Jean-sur-Reyssouze aurait-il tout simplement employé un mot pour un autre ?Il existait en effet deux sortes de fiançailles : les fiançailles par paroles de futur, par lesquelles les deux parties promettaient de se marier, et les fiançailles par paroles de présent, qui, selon les anciens canonistes. étaient de
vrais mariages, c'est-à-dire qu'il suffisait à deux personnes d'exprimer leur consentement au mariage pour être censées mariées.Le droit canon fixait à sept ans accomplis l'âge requis pour les fiançailles, quelle que fût leur forme, et les parants pouvaient fiancer leurs enfants impubères ; mais ces fiançailles n'étaient valides que lorsque les enfants, parvenus à
l'âge de la puberté, les avaient ratifiées. Dans le cas des fiançailles de présent, elles étaient converties en fiançailles de futuro quand c'étaient des impubères qui les avaient contractées.Si l'on veut bien imaginer que Benoîte PACQUET avait la morphologie et l'entendement d'une fillette de sept ans, peut-on admettre qu'il s'agit, dans son cas, de fiançailles par paroles de présent ? Il resterait d'autres objections :certains canonistes, par exemple. affirment que les fiançailles se différencient du mariage par le fait qu'elles ne sont pas accompagnées de la bénédiction sacerdotale -qui a bien été accordée- et le concile de Trente avait interdit les
fiançailles par paroles de présent.
Un mariage évident.Mariage ? Fiançailles ? On peut jouer sur les mots, mais il faut bien admettre l'évidence d'un fait attesté tant par un prêtre que par un notaire : Benoîte PACQUET a été unie à Pierre MOREL religieusement, par conséquent pour la vie, eninfraction avec toutes les lois canoniques en vigueur au milieu du XVIIème siècle, alors que le notaire a pour sa part attendu la puberté de la future épouse pour rédiger le contrat de mariage. Faut-il supposer un acte d'insoumission duprêtre, un mouvement de révolte contre les autorités ecclésiastiques ? C'est peu probable. Si l'on consulte les registres des mariages de Saint-Jean-sur-Reyssouze, ou ceux des paroisses voisines que le temps a épargnés, on constate que les
décisions du concile de Trente n'étaient guère appliquées â cette époque dans ce coin de la Bresse.Connaissant les conditions exigés pour qu'un mariage soit valablement contracté, consentement des époux, âge de la puberté. consentement des père, mère ou tuteur, proclamation de trois bans, assistance de deux témoins, bénédiction par lecuré de la paroisse de l'un des mariés, et sachant que le défaut de l'une de ces conditions entraîne la nullité de l'union (sauf si une dispense a été accordée), on ne peut que s'étonner de la brièveté des actes rédigés par les curés, quine mentionnent nullement si ces diverses conditions ont été remplies. Il faudra attendre la publication de l'ordonnance royale de 1697 pour que les prêtres se montrent plus prolixes, signalant en particulier qu'ils ont observé tes formes
du concile de Trente .
Une méconnaissance des textes ?Rien n'empêcherait de croire que Messire DEMARIS a agi en toute bonne foi, ne péchant que par une connaissance incomplète de textes très anciens, ou par une ignorance en matière canonique que pourrait expliquer son isolement dans une petite
paroisse provinciale. Il aurait ainsi procédé une cérémonie qu'il maîtrisait mal, parce qu'exceptionnellement célébrée.Une autre question vient alors à l'esprit : pourquoi les parents de Benoîte PACQUET ont-ils voulu la marier â un âge aussi tendre ? Ils sont tous deux vivants, pas très âgés, sa mère a environ trente huit ans, ils possèdent quelquesressources puisque le père est laboureur, ce qui devrait lui permettre d'élever ses six enfants sans être dans l'obligation de rechercher pour sa fille la sécurité matérielle que pourrait lui assurer un mari lié à vie par une bénédiction
religieuse.
Et pourquoi Benoîte, et elle seule ? Marie, sa soeur cadette, ne se mariera qu'en 1669. Faut-il envisager un désir impatient de réunir les biens et propriétés de deux familles bien nanties ?Si l'on en juge par le testament d'André PAQUET, celui-ci ne possédait aucune fortune immobilière et, lorsque Pierre MOREL mourra, le 10 juillet 1694, il léguera à Antoine, Philibert, Philippe, Jean, Benoîte, Marie. Catherine, Claire,Claudine, Françoise et Jeanne, ses enfants, a chacun 30 livres, payables incontinent qu'ils auront atteint l'age de majorité ou qu'ils se marieront... . Benoîte PACQUET, sa femme, légataire universelle, reçoit, ses autres biens meubles
et immeubles , sans autre précision.On peut cependant supposer que les immeubles n'atteignent qu'un montant assez modeste, l'acte ayant été faict dans une grange où est à présent censier ledict testateur .
Un événement incontestable malgré toutIl faut donc se résigner à rester dans l'incertitude en ce qui concerne ce curieux mariage, qu'il s'agisse des motivations des parents ou de l'attitude du curé de Saint-Jean-sur-Reyssouze. L'évènement n'en est pas moins incontestable : au
milieu du XVIIème siècle, une fillette est mariée
Sources :
- Registrés paroissiaux de Saint-Jean-sur-Reyssouze (01);.
- Minutes des notaires Philibert DEMARIS (1650 à 1693) et Chartes DEMARIS (1693 à 1711) de Saint-Jean-sur-Reyssouze AD. 01
- C. J. de FERRIERE. Dictionnaire de droit et de pratique contenant l'explication des termes de droit, d'ordonnance, de coutume et de pratique avec la juridiction de France Paris, 1764
- M. GUYOT Répertoire universel et raisonné de jurisprudence civile, criminelle, canonique et bénéficiaire, Paris, 1785
- J. L. DUPLAIN, Dictionnaire de droit canonique et de pratique bénéficiaire Lyon, 1776
Janody, Claude Pierre
Il est le parrain de Marie Claudine CARROUGE le 2.11.1782 à Servignat
Buatier, Claude
Présent aux obsèques de sa soeur Françoise BUATHIER épouse de Claude JANODY en 1691 à Saint Jean sur Reyssouze
Carry, Claude Joseph
X Morel, Marie Josephte
Dispense de 3 ème degré de consanguinité
Morel, Claude Joseph
Maire de Servignat en 1808
Contet, Clauda
Présents à ses obsèques: Louis RICHE son fils et Pierre et Etienne CONTET ses frères
Contet, Etienne
Présents à ses obsèques: Jacques son frère et Antoine BOULLET son beau frère